C'est
pas parce qu'il y a de belles maisons
avec
des allures fort policées
pleines
de cristaux
de
bois de teck
et
d'argenterie
que
dehors
la
nature
ne
vit pas sa vie
de
nature
sauvage.
Entendez
plutôt
violente en ces contrées Gujaraties.
Et
que je te brûle les terrasses
par
des températures de 45° à l'ombre
et
que je t'envoie le rinçage des façades
par
des pluies de moussons diluviennes
et
que je te gèle les carreaux
en
hiver
avec
les vents descendus tout droit
ou
presque
de
l'Himalaya.
Bref
pas
de mesure.
Accrochez-vous,
les bâtiments.
Ceux-là
tiennent bon
jusqu'à
maintenant
courez-les
voir
avant
qu'il ne soit trop tard.
Vous
croiserez
dans
les rues
la
nature
sauvage
:
des
chiens jaunes, le jour
des
tortues, la nuit.
Si
si.
Et
des gens, aussi
Ecoutez-les
dans "Instantanés du monde à Sidhpur" (cliquez ici, vous entendrez)
Photographie
©Anne Bonneau
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