Quand
nous sommes arrivés à Adjido
avec
Claudine et Mirabelle
les
femmes étaient déjà là
dans
une grande salle en dur
éclairé
par la seule porte ouverte
et
une fenêtre.
Mais
enfin elles étaient là
ensemble
à
peler des oranges qu'elles vendraient au prochain marché.
La
journée s'écoulerait comme ça
jusqu'au
seuil du crépuscule
car
après
plus
de lumière.
C'est
un des problèmes ici
pas
d’électricité.
Donc
pas de télé.
Donc
on a le temps de s'amuser
et
d'avoir des tas d'enfants.
ça
peut aussi
être
un problème.
Quant
à l'eau
n'en
demandez pas trop!
Ah
bon?
Des ONG ont décidé d'offrir plus
au
trop peu
des
villageoises.
De
l'eau
potable
et
des lumières.
Ecoutez-les dans "Vox Femina, mon grand corps malade" (cliquez icivous entendrez l'émission)
Photographie ©
Anne Bonneau
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